Camille est heureuse , elle reprend le contrôle de sa vie
Fini la fuite en avant, notre société commence à ralentir, à réfléchir sur le long, à prendre le temps d’observer, de ressentir, de s'émerveiller des petites choses.
La nature reprend sa place, même dans la ville où la voiture était reine. D'autres solutions de mobilité plus durables sont apparues. Les problèmes de ressources limitées font que l’on consomme moins mais mieux. Notre empreinte carbone a également diminué, nous utilisons des matériaux durables avec peu d’impact sur le climat ou la biodiversité. Nos habitudes de consommation ont évolué pour être plus responsables et répondre à nos besoins avant nos envies. Fini l'obsolescence programmée, on encourage les produits qui sont faits pour durer et il devient plus intéressant de réparer que de jeter.
Camille fait fonctionner l'économie circulaire
Elle mange local et achète local. Elle se soucie de la provenance des produits, de la manière dont ils ont été fabriqués mais aussi comment ils seront géré en fin de vie. Comme 74 % de Français, Camille se déclare prête à payer plus cher pour acheter un produit fabriqué en France [1].
Camille a également intégré un habitat partagé,
une petite communauté de 8 foyers situés dans une ville moyenne . A l’inverse des grandes villes ,les villes moyennes en zone rurale ou périurbaine sont de plus en plus plébiscitées, elles possèdent commerces et services publics mais aussi la tranquillité et sont plus proche de la nature. [2]
Dans l’habitat partagé, chaque foyer occupe un logement indépendant de petite taille mais largement suffisant pour leurs besoins et très sobre en énergie. L’habitat possède également des communs permettant de se retrouver, d’inviter des amis ou de la famille, de faire du sport ou même de bricoler ou cuisiner à plusieurs s'ils le souhaitent. Cela permet d’investir dans du matériel professionnel de qualité et plus efficace pour la laverie, l’atelier de bricolage, la cuisine collective ou le jardinage, et qui peut être utilisé par tous.
Camille se déplace maintenant majoritairement à vélo
La voiture qui est également partagée par la communauté n’est utilisée que quand cela est nécessaire, pour une urgence, un trajet éloigné ou pour voyager à plusieurs. Comme 72% des Francais elle considère le vélo comme une tendance durable, l’avenir des déplacements du quotidien et une solution crédible pour préserver l’environnement. [3]
Camille a pris conscience que la voiture est la plupart du temps utilisée pour des trajets courts ou très courts : 62 % des déplacements impliquant ce mode de transport font moins de 10km. [4]
La voiture est plus un choix et une habitude qu’un besoin. Bien que les commerces soient plus accessibles en zone urbaine qu’en zone rurale, d'après l’insee neuf personnes sur dix en France vivent dans l’aire d’attraction d’une ville.[5]
La majorité de la population vit à proximité d'un commerce alimentaire ou d'une pharmacie, 84 % vivent à moins de 2 km d’une boulangerie [6]
La voiture reste également majoritaire pour les déplacements domicile-travail, même pour de courtes distances 42% des personnes dont le lieu de travail est situé à moins de 1 km de leur domicile s’y rendent en voiture [7]
Un mini velo cargo
Se passer de la voiture n’a pas été simple pour Camille. Notre vie est organisée autour du système voiture, nous avons des emplois du temps bien rempli, il faut pouvoir se déplacer “assez” vite et “assez” loin, mais aussi pouvoir transporter des courses, du matériel de bricolage, un colis, ou un enfant, et si possible sans arriver transpirant a un rendez-vous. La solution devait être un vélo qui puisse devenir un vrai moyen de transport et pas juste un instrument de loisir, le mini vélo cargo oTwo. Un vélo cargo de la taille d’un velo standard (moins de 2m), léger (24kg) et à assistance électrique, permettant de transporter des objets ou un enfant vite et sans effort.
Avec son mini velo cargo oTwo, Camille intrigue et fait des émules. La prise de conscience de la nécessité de la transition est de plus en plus forte dans la société. 91% des Français veulent réduire l’impact écologique de leurs déplacements quotidiens et sont en recherche de solutions. [8]
Le vélo cargo était majoritairement vu comme un véhicule réservé aux familles nombreuses ou aux professionnels mais ce mini vélo cargo semble beaucoup plus accessible par sa taille et son poids, il suffit de savoir faire du vélo pour l’utiliser. 65% des Français ont pratiqué le vélo au moins une fois au cours des 12 derniers mois, et l'usage du "vélotaf" (se rendre à vélo au travail) se développe. [9]
Il est aussi compatible avec la majorité des habitudes d’usage du vélo comme le mettre dans le TER, dans l’ascenseur, dans un abri de jardin, dans les emplacements vélo en ville, etc.
Camille est également fière de supporter l’industrie française avec un vélo 100% français (sauf pour les freins hydrauliques, et les pneus pour lesquels il n’y a pas de solution locale actuellement). En 2021 en France 2,7 millions de vélos ont été vendus, c’est de loin le moyen de transport le plus vendu ; mais seulement 800 000 ont été assemblés en France et seulement quelques milliers ont été fabriqués localement.[10] Nous avons perdu une industrie, un savoir faire, et une indépendance sur un élément aussi essentiel qu’un vélo. Aujourd’hui suite à la crise du Covid, de l’Ukraine, de la pénurie de matières premières et au succès du vélo, de nombreuses chaînes d’approvisionnement sont perturbées. Des délais de 12 à 24 mois sont nécessaires pour s’approvisionner en composants de transmission ou en freins par exemple. Nous sommes extrêmement dépendants d’une économie complexe et globalisée. Il est temps de recréer une filière de l’essentiel, locale, responsable et durable.
OTWO Le vélo cargo pour tous, responsable et fabriqué en France
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